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Jeûne de 3 jours : les 5 boissons à privilégier pour rester en forme

En bref, Trois jours sans manger, cinq boissons pour tenir

  1. L’eau (minérale, faible en sodium) devient reine, parfois citronnée ou tiédie selon l’humeur du moment.
  2. Les tisanes et bouillons de légumes, filtrés maison, apportent réconfort, minéraux et une pause gourmande sans casser le jeûne.
  3. Bannir jus, sodas et sucres : ici, hydratation rime avec créativité, écoute du corps et vrai retour à l’essentiel.

Trois jours à jeûner : cette idée, surgie de nulle part ou d’un coin de conversation entre amis un peu fous, intrigue. Pourquoi se priver de nourriture solide, se contenter d’eau minérale bouteille en verre, de bouillons, de tisanes ? 

Peut-être pour le frisson du défi, la curiosité, mais aussi, il faut l’avouer, pour la promesse cachée : celle d’offrir au corps une pause digne de ce nom. Fini les excès, la digestion continue, le système digestif s’efface, laissant la place au grand ménage cellulaire. L’organisme, dans un élan de détoxification sourde, ressent l’effet du manque – ou de la liberté.

Le jeûne de 3 jours : que boire et pourquoi ?

Cette période de trois jours, c’est une parenthèse, pas une éternité, mais assez longue pour que la question des boissons devienne centrale. L’eau faible en sodium, bien sûr, mais aussi les tisanes, les bouillons de légumes, parfois du thé. Hydratation: le pilier absolu. Se passer d’aliments, supprimer sucre et solide, c’est une chose. Mais omettre de consommer suffisamment d’eau, là, c’est la porte grande ouverte aux dérapages : fatigue, migraine, tension qui dégringole, sensation de vertige, maux de tête… L’enjeu, ce n’est pas juste de boire, c’est de le faire avec régularité, patience, et un brin de créativité pour ne pas sombrer dans la monotonie.

Le corps, durant le jeûne, vire en mode économie: il s’alimente de ses réserves, réorganise le métabolisme, brûle ses graisses, recycle au passage cellules usées et déchets via l’autophagie. Cette phase de nettoyage cellulaire, largement étudiée, passionne la recherche médicale. Moins d’inflammation, meilleure sensibilité immunitaire : le processus fait rêver, même si ce n’est pas une cure magique. Chaque jeûneur, chaque organisme, chaque sensation varie selon l’habitude alimentaire, l’activité physique ou la prédisposition aux troubles de santé. Des études l’affirment : la période de jeûne doit rester limitée, sous peine de tomber dans l’excès, le déficit hydrique ou nutritionnel.

Les mécanismes du jeûne : attention aux pièges et aux signaux du corps

Premier jour : euphorie, concentration sur l’essentiel. Deuxième jour: c’est souvent là, pendant un jeûne de trois jours, que la sensation de faim percute l’esprit, puis s’atténue. Le corps active ses hormones de croissance, stimule l’utilisation des corps cétoniques et commence l’élimination des toxines. Paradoxal, mais c’est souvent au matin du troisième jour que certains retrouvent énergie et légèreté, même si le muscle commence (lui aussi) à se défendre contre la fonte potentielle.

Attention, la privation alimentaire, sur plus longue durée, entraîne souvent fonte musculaire, perturbation du système immunitaire, voire véritable danger chez la personne fragile. Le suivi d’un professionnel (médecin, naturopathe avisé, pourquoi pas) reste un repère important pour sortir de la zone à risque durant un jeûne prolongé ou thérapeutique. L’écoute du corps, ce fameux GPS cellulaire, s’impose : le besoin d’eau, d’énergie, d’un apport minéral modéré, tout cela ne s’invente pas, ça se ressent.

L’hydratation, ce défi du jeûne court : comment éviter la catastrophe ?

Sur le papier, deux à deux litres et demi par jour d’eau, voilà l’indication du national de la santé, relayée par tous les guides du régime intermittent. Mais dans la pratique, chaque verre compte, chaque tasse rassure. Écouter la soif, varier les boissons: c’est le secret du jeûneur heureux.

Eau, tisanes, bouillons filtrés : les liquides autorisés se déclinent comme suit :

Type de boissonEffet sur le corpsExemples & Conseils
Eau natureHydratation pure, favorise le nettoyage cellulaire et la détoxAjouter du citron (matin) ou une pincée de sel pour pallier la perte de minéraux, alterner eau froide et tiède selon l’envie
Tisane et thé vertSoutien digestif, détente, parfois léger effet drainantCamomille, verveine, romarin, artichaut, fenouil… Privilégier plantes de qualité, éviter excès de théine/caféine
Bouillons de légumes maisonMinéraux, réconfort, limitation du sentiment de privation, stimule l’organismeChaud le soir, filtré pour supprimer fibres et morceaux, peu salé, varier légumes (cru, cuit, racines, verts)

Une petite prise de bouillon en fin de journée ou au matin lorsque la fatigue s’invite, voilà qui permet de soutenir l’effort, de repousser la faim, d’éviter la baisse d’énergie trop brutale.

Le choix des liquides pendant trois jours de jeûne : ruser avec la nature

L’eau sous toutes ses formes : le socle indétrônable

Qui a dit que boire de l’eau était automatique ? Le jeûne hydrique change la donne. L’eau, le matin, parfois mêlée de citron frais, le soir version tiède, et surtout, cette impression d’offrir au système digestif un vrai repos. La monotonie, ce n’est pas obligatoire: la créativité a ses vertus même dans le verre. Certains alternent chaud et froid, d’autres jouent sur le contenant, le moment, les herbes aromatiques… Pour ne pas sombrer dans l’ennui, il suffit parfois d’un zeste ou d’une feuille fraîche.

Tisanes, infusions, herboristerie maison : les alliés détente

À chaque fatigue, une tisane différente. La camomille dénoue, le fenouil relance le transit, la mélisse tranquillise le cœur au deuxième soir. Changer de plante, c’est changer d’effet, de sensation… et de motivation à continuer la cure de jeûne. Le conseil ? Prendre le temps de choisir, d’éviter les faux arômes, de cueillir si possible, comme au jardin. Les tisanes deviennent la bande-son de la détox.

Bouillon de légumes : le câlin du soir, le joker en cas de coup dur

Un bouillon filtré, préparé le matin au calme, exalté par les souvenirs d’enfance ou le sourire d’une grand-mère. Les bouillons de légumes rechargent le moral, nourrissent à défaut de rassasier, protègent de la fatigue et de la tentation de sauter sur le premier biscuit venu. Rien d’anodin, tout se joue dans la douceur, la patience, le geste répété pendant la phase de jeûne hydrique. À varier selon ce qui reste au fond du frigo ou du panier du marché, mais toujours en gardant l’esprit : favoriser les apports minéraux, éviter le trop salé, préférer le naturel au transformé.

Gérer la quantité et le rythme : entre marathon et balade à petites gorgées

  • Alterner boissons chaudes et fraîches pour stimuler la digestion (un réveil des papilles, une vraie stratégie de reprise alimentaire ensuite).
  • Changer régulièrement de plantes ou de type de bouillon, pour éviter la lassitude et rester attentif à la nature et au besoin de l’organisme.
  • Adopter une prise lente, savourer chaque gorgée, pour transformer chaque boisson consommée en prise de conscience et en ressenti.

La prise de liquides doit respecter la vraie sensation de soif, s’adapter au rythme de la journée, à l’activité physique, à la température… Rien ne s’impose vraiment, sauf de ne jamais dépasser la limite du confort hydrique. Il s’agit de soutenir le jeûne, d’accompagner la détoxification en douceur et de garder la forme jusqu’au dernier matin. L’état d’esprit, aussi, peut tout changer : attention à la privation morale, à la baisse de moral, surtout lorsqu’un moment de faiblesse surgit.

Les pièges à éviter : sucres, calories cachées, et simulacres de boissons

Le jeûne intermittent ou total ne s’accommode ni de jus de fruits, ni de sodas, ni même de laits végétaux qui ravivent l’appétit, cassent la reprise du métabolisme. Tout apport sucré ou calorique, même un simple jus de légumes passé vite fait, relance le système digestif, stoppe l’effet de jeûne, relance la production de glucose et compromet la perte de poids ou la détox.

Bannir alcool, sodas, kéfir et même certains “faux amis” naturels, sous peine de transformer la cure de jeûne en festival d’effets secondaires: nausées, déséquilibre hydrique, pic d’insuline, sensation de faim accrue ou vertige incontrôlable.

Watershop, ou l’art de boire la planète

Il y a de l’eau, et puis il y a Watershop. Ici, ce n’est pas juste de l’hydratation, c’est un monde entier qui passe par le goulot d’une bouteille en verre, un ballet de bulles, d’origines, de minéraux, de souvenirs d’enfance au bord d’un torrent ou d’une table étoilée. 

Fiji, Orezza, VOSS, des noms qui claquent comme un parfum rare. On hésite, on goûte, parfois on reste perplexe devant le choix – plate, pétillante, douce, salée ? Chez Watershop, même l’océan s’invite à table.

Derrière le jeûne, l’expérience sensible, les astuces à retenir

Ceux qui pratiquent le jeûne de trois jours témoignent souvent d’une même évolution : la faim qui disparaît après 36 heures, la fatigue qui cède la place à un regain d’énergie, les petits rituels de tisanes le soir ou de bouillon quand tout semble vaciller. Ici, la reprise alimentaire est aussi capitale que la privation temporaire: retour progressif aux aliments crus, fruits, légumes, et surtout, patience pour ne pas agresser un système digestif au repos.

Écouter son corps — ce grand classique qu’on redécouvre à chaque cure — reste l’indication essentielle. Peu importe la durée du jeûne, le type de pratique (intermittent, prolongé, hydrique…), l’organisme envoie des signaux : fatigue, maux de tête, vertiges, faim ou au contraire sérénité profonde. Le succès tient dans la préparation, l’accompagnement, la capacité à accepter le processus, à prendre le temps de ressentir… à consommer uniquement ce qui soutient le nettoyage cellulaire, sans céder aux excès ni à la tentation du rapide ou du sucré.

Réponses aux questions courantes pour savoir que boire pendant un jeûne de 3 jours

Comment faire le jeûne de 3 jours ?

Alors, le jeûne de 3 jours, c’est un peu comme préparer une grande expédition dans l’inconnu, mais sans sac à dos ni barres de céréales. Pour commencer, rien de brusque : on attaque le jour 1 par 24 heures sans solide, seulement de l’eau (beaucoup d’eau), du thé vert si besoin, une tisane histoire de garder la convivialité. Les jours 2 et 3, c’est la ligne droite du jeûne detox : souvent des bouillons de légumes maison (oui, à siroter comme une mamie tranquille au coin du feu), toujours des liquides, jamais d’improvisation façon cocktail. Le corps entre dans sa détox profonde, il puise en douceur, il explore ses réserves. Écoute des signaux, oui, car chaque organisme vit ce jeûne différemment. On s’y tient, mais on reste attentif. L’expérience du jeûne de 3 jours, c’est un peu une parenthèse de pureté, intense, étrange, parfois déstabilisante, jamais banale. Et au fond… trois jours, ce n’est ni trop, ni trop peu, juste assez pour goûter à une autre façon de sentir son corps.

Combien de kilo Peut-on perdre en Jeunant 3 jours ?

La grande question des kilos ! Un jeûne de 3 jours, et déjà l’idée fait saliver la balance. Mais attention, la perte de poids est là, oui, souvent autour de 2 à 3 kg au bout du compte. Pourtant, le jeûne de 3 jours, ce n’est pas une baguette magique (dommage, non ?), plutôt un coup de projecteur sur l’organisme qui va piocher dans les réserves de sucres, puis de graisses. La perte de poids, c’est le corps qui bascule en mode économie d’énergie, il brûle ses stocks, il allège ce qu’il peut. Parfois plus, parfois moins, selon l’histoire de chacun, son métabolisme, cette drôle de machine unique derrière chaque nombril. Ce qui part vite revient parfois tout aussi vite, mais la légèreté, elle, reste souvent un peu plus longtemps… Une question de regard sur la balance, pas seulement d’aiguille.

Quels sont les bienfaits d’un jeûne de 3 jours ?

Ah, les bienfaits ! Le jeûne de 3 jours, c’est un reset, rien de moins. On parle beaucoup de detox profonde, d’action sur le système immunitaire, de vraie résistance au stress oxydatif : ça sonne technique, concrètement c’est comme offrir à son organisme trois jours de vacances pour réparer en douce, loin du tumulte. Le corps se défend mieux, il apprend à économiser ce qu’il a, il se recentre. Et, bonne nouvelle, la masse musculaire tient bon, sauf si on triche gravement sur la durée. Le jeûne de 3 jours, c’est ce moment un peu suspendu où on se découvre une force nouvelle, on s’étonne de ne pas s’écrouler. Parfois même, on se sent invincible en sortant. Attention, pas d’excès de confiance : l’organisme aime aussi le répit ! Et puis il y a ce petit supplément d’âme : clarté mentale, sensation de repartir à zéro. Le jeûne de 3 jours, classique ? Peut-être. Étonnamment efficace ? Certainement.

Est-ce bien de jeûner 72h ?

Trois jours : 72 heures, c’est tout ? Et pourtant, en soixante-douze petits tours, le corps se réinvente, littéralement. Ce jeûne de 3 jours va droit au cœur de la mécanique. Régénération du système immunitaire, disent les études, mais dans la vraie vie : c’est la sensation étrange que quelque chose d’essentiel bouge à l’intérieur. Le corps entre en autolyse : il élimine, il recycle, il trie les cellules fatiguées, il fait du propre. Parfois, on a du mal à y croire, tant le ressenti peut surprendre. Est-ce que le jeûne de 72h convient à tous ? Honnêtement, non. Mais pour beaucoup, ces 3 jours filent et laissent derrière eux une impression puissante de renouveau. On ressort souvent différent, comme après une tempête calme. Le temps de se reconnecter, de souffler, de remettre à plat ce qui compte vraiment. Quelque chose d’ancien s’efface et l’organisme, lui, salue ce pas de côté.

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